il y a des choses je le sais mais le malheur
retour à la vraie-fausse-vie c'est à dire celle de nuits blanches et des soirées enfumées. nécessité absolue de prendre sur soi pour dépasser l'interrogation perpétuelle sur la proportion de gens intéressants présents tout autour.
même si tout ça ne mène pas plus à grand chose qu'à rien, sauf à écrire des textos à cinq heures et demie absolument incohérents pour qui les reçoit. et on a beau parler de l'amour, on a beau essayer de le vivre dans une logique à chaque fois particulière et pourtant cette année n'aura été qu'une espèce de long chemin pour l'oublier, un peu. même si pas seulement, même si bien sûr il y a des choses qui ne valent que pour elles-mêmes et pas par rapport à un lui hypothétique, le premier à te dévorer le coeur.
pense-bête : arrêter de lancer des piques, ça fait tellement aigrie. je ne suis pas aigrie, j'ai fini mon concours, celui qui clôt les deux années de prépa et que je retenterai sûrement l'an prochain, les mois d'été s'ouvrent et pourtant j'ai peur.